Date de mise à jour : 17/02/2007
Auteurs : Xavier
01/01/2000 ONISEP - Office National |
01/10/2006 REVUE BASSE VISION INFO |
01/09/2006
|
Cette liste est loin d'être exhaustive.
01/01/2007 1 rue des Pucelles 67000 STRASBOURG - FRANCE tél : 03.88.36.57.94 fax : 03.88.25.51.90 Edite une revue : la Revue de
l'Ophtalmologie Française et un annuaire Email : snof@sdv.fr Site Web : http://www.snof.org Commentaires : annuaire très complet,
site internet très complet avec de nombreuses informations pour
grand public sur la vision normale et les maladies des yeux.
Société Française
d'Ophtalmologie 9 rue Mathurin Régnier 75015
PARIS tél : 33 (0)1 47 34 20
21 fax : 33 (0)1 40 56 39 48 Email : sfo@sfo.asso.fr Site Web : http://www.sfo.asso.fr Commentaires : Société
Scientifique des Ophtalmologistes Francophones. De
nombreuses
fiches d'informations sur les pathologies oculaires et sur
la chirurgie ophtalmologique
ont été rédigées sous sa
responsabilité.
Commentaires : donne accès à "les cahiers
d'ophtalmologies", un agenda des congrès bien développé
et un accès à Medline
Commentaires : site en grande partie réservé
aux ophtalmologistes et payant
Commentaires : Une partie est réservée
aux ophtalmologistes, l'autre donne des renseignements sur la mission
humanitaire de cette association qui lutte contre de nombreuses pathologies
cécitantes surtout en Afrique.
http://ophimage.free.fr
: Site d'iconographie en
ophtalmologie assez bien fourni.
http://ophtalmologie-officiel.com
: Site surtout destiné aux ophtalmologistes, mais
vous trouverez un répertoire de laboratoires avec
leurs spécialités et un annuaire des 5000
ophtalmologistes français.
C'est lui qui va chercher ce qu'il faut faire pour
corriger ce que l'on peut corriger. Il va diagnostiquer le trouble visuel,
la maladie oculaire, puis prescrire le remède. Pour que ce dernier
vous soit le mieux adapté, il va avoir besoin de vous connaître,
de savoir dans quelles circonstances la gêne est la plus grande. Il va aussi chercher à
rassurer, relativiser vos craintes et à amorcer le
travail de reprise de confiance en soi. Renoncer à
certaines activités n'est jamais la bonne solution,
avant d'avoir envisagé une autre façon de les
réaliser. L'ophtalmologiste peut être consulté
en ville. Il est remboursé par la sécurité sociale
comme n'importe quel médecin conventionné. C'est lui qui
va diriger la personne malvoyante soit vers une rééducation
dans un centre spécialisé en basse vision, pour une prise
en charge globale, soit de préférénce en proximité,
vers un opticien, spécialiste ou non de l'appareillage basse-vision,
et vers un orthoptiste en ville, le plus souvent pour une rééducation
de la vision de près (lecture, écriture). De plus en plus d'ophtalmologistes pensent à
la rééducation basse vision aux aides techniques, et les
prescrivent.
Les
ophtalmologistes sont répertoriés dans un
annuaire annuel publié par le SYNDICAT NATIONAL DES
OPHTALMOLOGISTES DE FRANCE
D'autres sites francophones sur l'ophtalmologie :
Site Web d'Ophtalmo Sans Frontières : http://www.opht-sans-frontieres.org/
RÔLE
DE L'OPHTALMOLOGISTE DANS LE CADRE DE LA PRISE EN CHARGE "BASSE-VISION"
02/08/2007
Nombreuses informations sur
l'optique Site Web : http://www.gifo.org http://www.gifo.org/profession/profession.htm
explique la profession d'opticien
Site Web : http://www.inform-optique.com
Site Web : http://www.bienvu.presse.fr/textes/numero32/doss.htm
Commentaire : rien sur la basse vision.
Un lien existe vers un annuaire des opticiens, des ophtalmologistes, des
orthoptistes français, qui en fait bascule sur le Site Web : http://www.infobel.com/France/
RÔLE
DE L'OPTICIEN DANS LE CADRE DE LA PRISE EN CHARGE "BASSE-VISION" L'opticien conseille, détermine et conçoit
des lunettes ou du matériel sophistiqué afin d'améliorer
la perception visuelle (lunettes sur mesure, télé-agrandisseur,
jumelles, etc.) Son souci premier est d'aider les personnes dans leurs
incapacités visuelles quotidiennes. Il va donc devoir repérer
celles-ci, et passe la première partie de sa consultation à
écouter les clients pour bien comprendre ce qu'ils veulent, ce
qu'ils ont déjà et ce dont ils ont besoin. par exemple,
les aides à la lecture demandées vont-elles servir à
lire le courrier, des chèques, ou les livres de la pléïade
? l'opticien à la recherche des meilleures solutions a besoin que
son client soit acteur de sa vision. Les opticiens formés en basse-vision
sont 1500 en France. Pour le matériel sophistisqué, la prise
en charge par la Sécurité sociale n'est pas prévue
après l'âge de 21 ans. Les démarches pour obtenir
des aides financières sont plus faciles avec la mise en place de
la li de février 2005 sur le handicap au titre de la "prestation
de compensation" ; il faut contacter la MDPH
du département. A ce titre, de nombreuses lunettes sur mesure peuvent
bénéficier d'un remboursement.
L'opticien est un
professionnel spécialiste de la vision. il formule,
conseille, conçoit, réalise, adapte tout
équipement optique de quelque nature qu'il soit
destiné à compenser les anomalies de la
vision. En basse vision, il utilise tous les moyens
techniques et prodigue en collaboration avec
l'ophtalmologiste et l'orthoptiste tous conseils
d'hygiène et d'entraînement pour
améliorer la vision.
Les coordonnées des opticiens
sont très facilement accessibles sur internet pagesjaunes.fr
Un annuaire papier remis à jour tous les ans avec les coordonnées
de tous les opticiens de France est disponible auprès de FRANCE OPTIQUE,
Hôtel de Masceany, 2 rue Béranger, 75003 PARIS - FRANCE, tél
: 01 49 96 22 00 , fax : 01 49 96 22 34
Groupement des industries françaises
d'optique
Nombreuses informations sur l'optique publiées dans la revue papier
INFORM OPTIQUE et sur leur site
Tous les devis très précis pour
l'équipement d'un opticien spécialisé
en basse vision sont sur le site suivant :
Site sur l'optique : http://www.bienvoir.net
Le point de vue
d'un opticien basse-vision : hpaulet@sirtem.fr
2/01/2007
43,
rue Emile Guichenné Résidence Le Florestan 64000 Pau France tél : 05 62 93 48 54 fax : 05 62 93 48 54 Edite une revue : Email : Email : Site Web : http://www.sof.com.free.fr Sur le site, la liste de toutes les orthoptistes de
France, et de toutes les écoles d'orthoptie.
22 rue Richer 75009 PARIS - FRANCE tél : 01.40.22.03.04 fax : 01.40.22.03.12 Edite une revue : l'oeil en
coin Ce syndicat publie une liste, où figure par
département, le nombre d'orthoptistes ayant bénéficié
d'une formation post-universitaire sur la basse-vision. Email : snao@orthoptistes.com Site Web : http://www.orthoptistes.com Ses buts (revue l'Oeil en Coin
de décembre 1999) : Des plaquettes d'information détaillant l'action
des orthoptistes sont éditées par le SNAO. Commentaires : Une partie est destinée à
l'information et l'explication de l'utilité du bilan et de la rééducation
de la fonction visuelle, l'autre est destinée (en accès
libre) aux orthoptistes et contient des renseignements sur l'exercice
de leur profession. Peu de choses sur le handicap visuel.
20-22, rue Edith Cavell 71200 Le Creusot France tél/fax : ?? Edite une revue scientifique : le
Journal Français d'Orthoptique Email : francoisedorey@wanadoo.fr
Site Web : http://www.association-orthoptique.com Quelques autres sites WEB
concernant l'orthoptie : Site crée par un strabologue de
renom : Dr JB WEISS http://perso.club-internet.fr/ceresems/
Site crée par un orthoptiste
passioné :
Site qui se veut le plus exhaustif
possible et géré par Jean-Marc Desvals
(desvalsjm@mls.nc),
orthoptiste à Nouméa, New-Caledonia avec une
liste de site, une liste de discussion sur l'orthoptie dans
le monde : http://zap.to/jmd
- POUR S'ABONNER : envoyer en
texte brut un message contenant le texte "JOIN " (sans les
guillemets) à l'adresse suivante :
2YEUX-list-request@mls.nc - POUR SE DESABONNER : envoyer
en texte brut un message contenant le texte "LEAVE " (sans
les guillemets) à l'adresse suivante :
2YEUX-list-request@mls.nc - Pas de changement pour le
reste, pour envoyer des messages au groupe écrire
à : 2YEUX-list@mls.nc
Textes
généraux Santé Décret no 2001-591 du 2 juillet
2001 fixant la liste des actes pouvant être
accomplis par des orthoptistes NOR : MESH0122302D Le Premier ministre, Sur le rapport de la ministre de
l'emploi et de la solidarité et du ministre
délégué à la
santé, Vu le code de la santé
publique, notamment les articles L. 4131-1, L. 4342-1, L.
4381-2 ; Vu le décret no 65-240 du 25
mars 1965 réglementant les professions
d'orthophoniste et d'orthoptiste ; Vu l'avis de l'Académie
nationale de médecine ; Le Conseil d'Etat (section sociale)
entendu, Décrète : Art. 1er. - L'orthoptie consiste en
des actes de rééducation et de
réadaptation de la vision utilisant
éventuellement des appareils et destinés
à traiter les anomalies fonctionnelles de la
vision. Art. 2. - Sur prescription
médicale, l'orthoptiste établit un bilan qui
comprend le diagnostic orthoptique, l'objectif et le plan de
soins. Ce bilan, accompagné du choix des actes et des
techniques appropriées, est communiqué au
médecin prescripteur. L'orthoptiste informe le
médecin prescripteur de l'éventuelle
adaptation du traitement en fonction de l'évolution
et de l'état de santé de la personne et lui
adresse, à l'issue de la dernière
séance, une fiche retraçant l'évolution
du traitement orthoptique. Art. 3. - Les orthoptistes sont seuls
habilités, sur prescription médicale et dans
le cadre du traitement des déséquilibres
oculomoteurs et des déficits neuro sensoriels y
afférents, à effectuer les actes
professionnels suivants : Ils sont en outre habilités
à effectuer les actes de rééducation de
la vision fonctionnelle chez les personnes atteintes de
déficience visuelle d'origine organique ou
fonctionnelle. Art. 4. - Les orthoptistes sont
habilités à participer aux actions de
dépistage organisées sous la
responsabilité d'un médecin. Art. 5. - Les orthoptistes sont
habilités, sur prescription médicale, à
effectuer les actes professionnels suivants : L'interprétation des
résultats reste de la compétence du
médecin prescripteur. Ils sont habilités à
participer, sous la responsabilité d'un
médecin en mesure d'en contrôler
l'exécution et d'intervenir immédiatement, aux
enregistrements effectués à l'occasion des
explorations fonctionnelles suivantes : Art. 6. - A l'article 1er du
décret du 25 mars 1965 susvisé, les mots :
« et les orthoptistes» sont
supprimés. Art. 7. - Le décret no 88-1069
du 23 novembre 1988 fixant la liste des actes pouvant
être accomplis par les orthoptistes est
abrogé. Art. 8. - La ministre de l'emploi et
de la solidarité et le ministre
délégué à la santé sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent décret, qui sera
publié au Journal officiel de la République
française. Fait à Paris, le 2 juillet
2001. Lionel Jospin Par le Premier ministre : Le ministre
délégué à la
santé, Bernard Kouchner La ministre de l'emploi et de la
solidarité, Elisabeth Guigou
Texte paru au JORF/LD page
02607 Ce document peut également
être consulté sur le site officiel
Legifrance Arrêté du 18
février 2000 modifiant la Nomenclature
générale des actes professionnels des médecins, des
chirurgiens-dentistes, des sages-femmes et des auxiliaires
médicaux NOR : MESS0020622A La ministre de l'emploi et de la
solidarité, le ministre de l'agriculture et de la
pêche et la secrétaire d'Etat à la
santé et à l'action sociale, Vu le code de la
sécurité sociale ; Vu l'arrêté du 27 mars
1972 modifié relatif à la Nomenclature
générale des actes professionnels des
médecins, des chirurgiens-dentistes, des sages-femmes
et des auxiliaires médicaux ; Vu l'avis de la commission permanente
de la Nomenclature générale des
médecins, des chirurgiens-dentistes, des sages-femmes
et des auxiliaires médicaux ; Vu l'avis du conseil d'administration
de la Caisse nationale de l'assurance maladie des
travailleurs salariés, Arrêtent : Art. 1er. - Les dispositions de la
deuxième partie de la Nomenclature
générale des actes rofessionnels, titre III
(Actes portant sur la tête), chapitre II (Orbite, oeil), sont modifiées
comme suit : " Art. 12. - Orthoptie : bilans et
rééducations : " Bilan fonctionnel de la basse vision
d'une durée de 60 minutes (un bilan par an) : 16
AMY. " Rééducation de la
basse vision avant l'âge de dix-huit ans
révolus, par séance d'une durée d'au
moins 40 minutes : 10 AMY. " Rééducation de la
basse vision de l'adulte, par séance d'une
durée d'au moins 60 minutes, avec un maximum de dix
séances par an : 15 AMY. " Cette rééducation est
destinée à des personnes dont l'acuité
visuelle avec la meilleure correction optique est comprise
entre 0,02 et 0,3 et/ou dont le champ visuel est
supérieur à 5 degrés mais
inférieur à 10 degrés. " (Le reste de l'article 12 est
inchangé.) Art. 2. - Le directeur
général de la santé et le directeur de
la sécurité sociale au ministère de
l'emploi et de la solidarité et le directeur des
exploitations, de la politique sociale et de l'emploi au
ministère de l'agriculture et de la pêche sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté,
qui sera publié au Journal officiel de la
République française. Fait à Paris, le 18
février 2000. La ministre de l'emploi et de la
solidarité, Pour la ministre et par
délégation : Le directeur de la
sécurité sociale, R. Briet Le ministre de l'agriculture et de la
pêche, Pour le ministre et par
délégation : Par empêchement du directeur des
exploitations, de la politique sociale et de l'emploi
: Le sous-directeur, E. Rance La secrétaire d'Etat à
la santé et à l'action sociale, Pour la secrétaire d'Etat et
par délégation : Par empêchement du directeur
général de la santé : La chef de service, E.
Mengual
Décrets, arrêtés,
circulaires Textes
généraux Ministère de la santé,
de la famille et des personnes handicapées Avenant à la convention
nationale des orthoptistes NOR: SANS0320600X Est réputé
approuvé, en application de l'article L. 162-15 du
code de la sécurité sociale, l'avenant,
publié ci-dessous, conclu le 18 décembre 2002
entre, d'une part, la Caisse nationale de l'assurance
maladie des travailleurs salariés, la Caisse centrale
de mutualité sociale agricole et la Caisse nationale
d'assurance maladie des professions indépendantes et,
d'autre part, le Syndicat national autonome des
orthoptistes. A V E N A N T
RÔLE
DE L'ORTHOPTISTE DANS LE CADRE DE LA PRISE EN CHARGE
"BASSE-VISION" Le point de vue d'une orthoptiste Brigitte
HUVEY-ROUSSEAU, C.H.U. de Bicètre, Service d'Ophtalmologie Lorsque les traitements
médicamenteux ne donnent plus d'amélioration,
que le laser a été fait et qu'une chirurgie
n'est pas envisageable, l'ophtalmologiste adresse le patient
atteint d'une déficience visuelle majeure à
l'ORTHOPTISTE. La prise en charge orthoptique
commence par un bilan d'évaluation des
capacités visuelles fonctionnelles du
patient. Ce bilan est d'abord subjectif. Son
but est de faire l'inventaire de ce que le patient ne peut
plus faire (conséquences de son handicap), ce qu'il
peut encore faire, même avec peine (ses aptitudes
visuelles) et ce qu'il aimerait pouvoir refaire (ses
attentes). Cela se fait en vision de loin, en
vision intermédiaire (activités de la vie
journalière) et en vision de près (lecture,
écriture). Ensuite est dressé un bilan
objectif de cet état de malvoyance. On met le patient
en situation et on teste ses capacités visuelles
restantes dans le domaine des contrastes, des formes, des
contours mais aussi la coordination oeil-main, la lecture,
etc... On étudie les stratégies
qu'il a développé pour contourner la
difficulté liée à son handicap visuel
(excentration, balayage, déplacement ou rapprochement
de la tête, développement du sens auditif ou
tactile, etc...). L'orthoptiste est alors en mesure de
savoir si le travail de deuil a été
effectué, si le patient est motivé pour une
prise en charge de sa déficience visuelle et s'il est
capable de l'assumer avec l'orthoptiste puis chez
lui. Une "rééducation
basse-vision" est alors envisagée dans le but de
répondre aux attentes exprimées par le patient
et de lui rendre une autonomie dans ses activités
quotidiennes (lecture, travaux ménagers,
...). Au cours des séances de
rééducation, il est fréquent d'avoir
recours aux compétences d'un opticien
spécialisé dans l'équipement optiquedes
malvoyants pour mettre en place un système
grossissant utile à la lecture ou destiné
à certains travaux de précision (bricolage,
courure). Si, au cours du bilan, une prise en
charge se révèle utile pour la locomotion ou
les activités de la vie journalière, il est
dans le rôle de l'orthoptiste de savoir orienter le
patient vers les auxiliaires spécialisés dans
ce domaine. La prise en charge d'une
déficience visuelle s'inscrit dans un contexte
pluri-disciplinaire, dont l'orthoptiste peut être le
pivot. Il s'attache plus particulièrement aux
problèmes manifestés en vision de
près.
Spécialiste de la vision,
l'orthoptiste va vous aider à acquérir les
moyens et les stratégies pour compenser son handicap
visuel. Ensemble vous déterminerez trois axes : ce
que vous faites ; ce que vous avez arrêté de
faire ; ce que vous aimeriez faire. L'orthoptiste participe
à la définition des objectifs que vous
souhaitez atteindre par la rééducation. A
travers celle-ci, il aide à mettre en place les
stratégies visuelles (développer une nouvelle
zone de fixation, systématiser son utilisation...),
coordonner l'oeil avec la main, se rapprocher quand il le
faut, stimuler votre mémoire, rechercher l'aide
optique la mieux adaptée à vos
besoins. Il travaille la vision de près,
intermédiaire et de loin dans des situations
statiques. En dynamique, C'est l'instructeur en locomotion
qui s'occupe des déplacements ; l'orthoptiste pose
les bases d'un travail ultérieur. Ainsi, la
coordination de l'équipe de rééducation
est indispensable. L'orthoptiste peut être consulté en ville
(en libéral, ou bien salarié d'un ophtalmologiste) ou dans
un centre spécialisé. Dans tous les cas les actes
sont remboursés par la Sécurité sociale AREPO (Association Régionale
d'Enseignement et de Pratique Orthoptique) Contacter Mme Cécile BAZALGETTE
(Secrétaire de l'AREPO) A.R.E.P.O. Service
Ophtalmologie C.M.C. Gui de Chauliac 34295 MONTPELLIER Cedex
5 Tél : 04 67 33 71 75
Les
orthoptistes sont répertoriés auprès de
leurs deux syndicats et de leur association professionnelle
:
SYNDICAT DES ORTHOPTISTES DE FRANCE (SOF)
SYNDICAT NATIONAL AUTONOME DES ORTHOPTISTES (SNAO)
Les orthoptistes sont répertoriés auprès de
leur association : ASSOCIATION FRANCAISE D'ORTHOPTIQUE (AFO)
LE NOUVEAU DECRET DE COMPETENCE DES ORTHOPTISTES de juillet
2001
LES NOUVELLES COTATIONS BASSE-VISION DES
ORTHOPTISTES
J.O n° 49 du 27 février 2003 page
3496
2/02/2007 Secrétariat général : Nathalie
Van Landeghem 17, rue de la Convention 75015 Paris France tél : 01 44 61 72 64 Email : nvl66@club-internet.fr Site internet : http://www.alfphv.net/ Edite un journal d'actualité
réservé aux membres de
l'association L'ALFPHV regroupe des Psychologues
travaillant auprès d'enfants, d'adolescents,
d'adultes, aveugles ou amblyopes. Praticiens ou Chercheurs,
ils exercent dans les différents champs de la
Psychologie et sont à l'origine de nombreux travaux
de recherche qui font référence dans le
domaine de la Déficience Visuelle et
élargissent la connaissance de la Psychologie des
Handicapés de la Vue. Objectifs : - Regrouper les personnes enseignants
la locomotion. - Contribuer à la diffusion la
plus étendue possible des méthodes
d'éducation et de rééducation
auprès des pouvoirs publics concernés, ainsi
que tous les autres organismes - Informer le publics des
possibilités des personnes déficientes
visuelles. - Contribuer à la
formation - Obtenir la reconnaissance de la
profession et mettre sur pied un décret de
compétence visant à défnir
précisément le champ d'application de la
locomotion Une superbe vidéo très
exhaustive de 42 minutes est disponible auprès de
l'ALFPHV. Allez voir le site officiel de
l'ALFPHV, qui présente son congrès annuel et
ses publications. Adresse : http://www.alfphv.net/ Miroir : http://www.multimania.com/pierreg/ALFPHV.html Rééducation :
http://www.multimania.com/pierreg/ Personnel : http://pages.pratique.fr/~pgriffon/
Il fait peur, il évoque
la folie. pourtant, le " psy " ne s'occupe pas que des
malades mentaux. Après l'ophtalmologiste, il
reçoit le patient le premier jour, pour l'informer
sur la rééducation en général et
écouter sa démarche de prise en charge. Puis
il participe à la définition du projet
rééducatif, avec tous les intervenants
concernés. Une fois le travail mis en route, il
propose un soutien, mais uniquement à ceux qui le
demandent. La rééducation a des effets
psychologiques certains :admettre la réduction de ses
capacités visuelles n'est pas une mince affaire. En
retrouver de nouvelles, intégrer des outils de
compensation ne peut pourtant se faire qu'après avoir
accepté cette limitation. Rien ne sera jamais plus
comme avant. Une nouvelle vie commence, une
nouvelle identité va se créer, fragile au
début, qu'il va falloir consolider au fur et à
mesure. Le psychologue aide le patient à s'appuyer
sur ses nouveaux acquis rééducatifs et
à élaborer de nouveaux projets de
vie. De même, il peut assister la
famille, si elle est trop déstabilisée et
désarmée. Il travaille en entretien individuel
et en groupe. En centre, ses actes sont pris en charge dans
le forfait.
Il existe une
ASSOCIATION DE LANGUE FRANÇAISE DES PSYCHOLOGUES
SPECIALISES POUR HANDICAPES DE LA VUE (ALFPHV)
ROLE DU PSYCHOLOGUE
DANS LE CADRE DE LA PRISE EN CHARGE "BASSE VISION"
02/07/2001 Il existe une ASSOCIATION DES PSYCHOMOTRICIENS DESecrétariat général :
Objectifs :
ROLE DU PSYCHOMOTRICIEN DANS LE CADRE DE LA PRISE EN CHARGE "BASSE VISION" Le point de vue de |
01/01/2007 Il existe une ASSOCIATION
des professionnels rééducateurs en AVJ pour personnes 24 le grand chêne, 49070 ST LAMBERT LA POTHERIE mob 06 13 38 69 79 Courriel : avjadv@hotmail.com
l'AVJADV regroupe au niveau de ses membres actifs des ergothérapeutes et des éducatrices spécialisées qui ont suivi une formation spécifique et qui travaillent auprès d'enfants ou d'adultes déficients visuels. ROLE DE L'AVJiste DANS LE CADRE DE LA PRISE EN CHARGE "BASSE VISION" L'AVJiste est le spécialiste de l'aide à la vie journalière. Son objectif est de faire retrouver son autonomie à son patient, et de l'amener à utiliser au mieux son potentiel visuel (balayage, concentration...) dans les actes de sa vie quotidienne : la toilette, la cuisine, l'habillage, le maquillage... Le malvoyant apprend à décrypter des informations tactiles ou auditives, et doit accepter de tenir compte de ses nouvelles perceptions, faisant confiance à ce qu'il resssent. L'AVJiste l'aide à faire le lien avec la réalité quotidienne, utilise toutes les techniques proposées par les autres rééducateurs. Se déplacer seul devient utile pour faire ses courses, et retrouver le plaisir de rencontrer les autres. Les aides visuelles de l'opticien sont adaptées au mieux aux activités courantes. Très rapidement, le patient retrouve ses richesses personnelles, découvre des capacités qu'il n'imaginait pas, ou qu'il croyait perdues. L'AVJiste travaille en centre de rééducation et aussi dans des services de gériatrie ou dans des lieux de vie. Tous ces endroits fonctionnent avec des prix de journée. La Sécurité sociale et les mutuelles prennent en charge tout ou partie du forfait journalier. |
01/01/2007 Pour devenir rééducateur A.V.J. (Autonomie dans la Vie Journalière pour personnes déficientes visuelles) Pour tout contact et informations sur le contenu pédagogique
et le déroulement : Courriel : formation@fisaf.asso.fr
Par cette formation il s’agit de : |
01/07/2001 7 rue Major Martin Hôtel Municipal BP 28 69000 LYON - FRANCE tél : 04 72 00 20 89
Comme l'AVJiste vous permet de vous
approprier votre univers familier, l'instructeur en
locomotion vous permettra de vous déplacer à
nouveau en toute sécurité. Il ne s'agit pas
d'apprendre des parcours par coeur, mais de
développer des compétences permettant de faire
face à l'imprévu. L'instructeur va optimiser
le potentiel visuel de la personne malvoyante pour qu'elle
trouve de nouveaux repères. Il pourra, en cas
d'insuffisance visuelle, solliciter d'autres moyens de
compensation : la canne blanche ou l'utilisation plus grande
de l'audition. La prise en charge par la
Sécurité sociale est variable suivant les
structures. Dans un centre de rééducation
agréé, la prise en charge de
l'évaluation est de 80 % ou 100 % suivant les
pathologies. Après une demande d'entente
préalable, la rééducation est
remboursée de la même façon. Les
mutuelles prennent en charge la
différence.
15/02/2000 La FNECGA
a crée un centre de
formation pour les éleves éducateurs de
chiens-guides d'aveugles qui, après 3 ans
d'études et de stages, d'examens, recoivent le
diplôme fédéral. Eduquer
un chien-guide est l'oeuvre d'un spécialiste, qui
outre ses connaissances particulières, sait faire
preuve de psychologie, de patience et de
discernement. L'éducateur au sein d'une
école de chiens-guides d'aveugles, est un travailleur
social qui sélectionne, forme et remet un chien guide
à un handicapé visuel, après
évaluation de ses possibilités et de ses
besoins. Programme d'études : Sur le terrain : Une vocation : FÉDÉRATION
NATIONALE DES ASSOCIATIONS ET ÉCOLES DE
CHIENS-GUIDES D'AVEUGLES 71 rue de Bagnolet 92020 PARIS - FRANCE tél :
01.44.64.89.89 fax : 01.44.64.89.80
Il existe une
ASSOCIATION DES INSTRUCTEURS DE LOCOMOTION POUR DEFICIENTS
VISUELS
ROLES
DE L'INSTRUCTEUR EN LOCOMOTION
Les instructeurs en locomotion sont formés
pour mener la personne malvoyante à l'autonomie dans ses déplacements
et à la gestion active de son potentiel visuel. l'autonomie signifie
développer ses facultés multisensorielles, qu'il s'agisse
des possibilités visuelles, auditives, de représentation mentale,
tout en ayant conscience de ses limites. Le travail de l'instructeur est
un travail global sur le déplacement. il s'agit de donner à
la personne le moyen de détecter les obstacles afin qu'elle puisse
se déplacer en toute sécurité. Cette rééducation
vise également à mieux comprendre son environnement pour mieux
s'y orienter. En effet, l'objectif n'est pas d'apprendre un trajet par coeur
mais d'acquérir des compétences permettant de faire face à
l'imprévu. L'instructeur en locomotion incite le développement
des stratégies visuelles et des capacités d'interprétation
de ce qui est vu (par exemple, interpréter correctement un relief).
En cas de limite importante du potentiel visuel, on peut faire appel à
des moyens de compensation, comme la canne ou une plus grande utilisation
de l'audition. Les possibilités visuelles sont toujours prises en
compte mais dans un autre fonctionnement, comme regarder au loin lorsque
l'on se déplace avec une canne. La prise en charge par la Sécurité
sociale est très variable selon les structures.
EDUCATEUR
DE CHIENS-GUIDES D'AVEUGLES (texte
repris d'une plaquette de la FNECGA)
05/06/2001 Fédération Nationale des
Orthophonistes 76 rue Jean Jaurès 62330 ISBERGUES - FRANCE tél : 03.21.26.45.45 fax : 03.21.02.76.20 minitel : 3616 code : FNO Site Web : http://www.fno.fr Edite tous les ans un catalogue
très complet d'ouvrages, de tests et méthodes
d'évaluation, de matériels, d'acte de
congrès, de vidéo.
http://www.promedical.net/ClubPro/pagesSites/SitesOrthophonie.html
ORTHOPHONISTES
Un site personnel sur le monde de l'orthophonie :
http://perso.wanadoo.fr/jerome.grondin/index1.htm
Le site du comité permanent de liaison des
orthophonistes-logopèdes de l'union
européenne.
le point de vue des parents sur les :
psychologues, orthophonistes, pédopsychiatres :
http://www.peep.asso.fr/VDP/vdp303/303P17.html
08/08/2000 PROFESSEURS ET EDUCATEURS D'AVEUGLES ET D'AMBLYOPES Contacter leurs groupements : GPEAA : Groupement des Professeurs et Educateurs d'Aveugles et d'Amblyopes, 12 rue Alfred de Musset BP 27, 33440 AMBARES, tél : 05 56 38 85 85, fax : 05 56 77 69 36, Email : gpeaa@wanadoo.fr |
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